Les présidents russe Vladimir Poutine (droite) et turc Recep Tayyip Erdogan |
C’est ce qu’a fait savoir le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
L’entretien était, selon lui, «détaillé» et consacré à la nécessité de tout faire pour respecter l'entente initiale concernant la zone de désescalade d’Idlib.
Les deux parties ont également examiné la possibilité de procéder sous peu aux consultations nécessaires, a-t-il ajouté.