Ils ont convenu d’intensifier les consultations bilatérales à propos d'Idleb dans le but de réduire les tensions, de garantir un cessez-le-feu et de neutraliser la menace terroriste. L'offensive menée par le régime du président Bachar al-Assad avec l'appui de Moscou pour reprendre Idleb, dernier bastion rebelle dans le nord-ouest du pays, a sérieusement mis à mal l'entente entre les deux chefs d'États qui coopéraient étroitement depuis 2016 en vue de mettre fin au conflit en Syrie.