À son apogée, plus de 100 foyers du village, avec des milliers d’artisans qualifiés, vivaient de la vannerie.
Les villageois profitent des terrains vacants autour de leurs maisons ou de leurs champs pour planter différents types de bambou. Photo: Nguyên Luân/Báo Ảnh Việt Nam.
Quand ces arbres atteignent leur maturité, ils les coupent pour en faire les matières premières de la vannerie. Photo: Nguyên Ngoc Hai/VOV.
Le bambou est découpé en longues lamelles qui seront séchées au soleil pendant quelques jours. Photo: Nguyên Ngoc Hai/VOV.
Autrefois c’était un travail complètement manuel. De nos jours, la machine aide les villageois à accroître leur productivité. Photo: Nguyên Ngoc Hai/VOV.
Photo: Nguyên Ngoc Hai/VOV.
Les cerceaux des paniers sont séchés avant le tressage. Photo: Nguyên Ngoc Hai/VOV.
Une étape du tressage. Photo: Nguyên Luân/Báo Ảnh Việt Nam.
Malgré les affres du temps, le village perpétue la vannerie. Photo: Nguyên Ngoc Hai/VOV.
Photo: FB Bamboo Củ Chi
À Thai My, jeunes et moins jeunes, tous peuvent pratiquer la vannerie. Photo: Nguyên Luân/Báo Ảnh Việt Nam
La fabrication de chaque produit nécessite plusieurs étapes. Photo: FB Tre Củ Chi
De nos jours, les produits sont très diversifiés et rapportent des revenus stables aux villageois. Un miroir avec un cadre en rotin. Photo: FB Tre Củ Chi
Une cloche à vent en bambou. Photo: FB Tre Củ Chi
Une lampe en bambou. Photo: FB Tre Củ Chi