L'Icône de réseau social TikTok. Photo : AFP/AVI
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Les vidéos véhiculées par l'application "pourraient être biaisées au profit d'autorités chinoises soucieuses d'alimenter des troubles susceptibles d'affaiblir l'image de la démocratie", établit la commission dans son rapport, alors que les réseaux sociaux sont accusés d'avoir participé à l'emballement des récentes violences urbaines en France.
"Le gouvernement est très attentif aux recommandations qui sont formulées, en particulier sur la protection des mineurs", a réagi sur Twitter la secrétaire d'État chargée de l'enfance Charlotte Caubel, qui approuve notamment l'idée de bloquer l'application après une heure d'utilisation pour les mineurs.
"Nous sommes en profond désaccord avec les conclusions de ce rapport, qui ne reflète pas fidèlement les faits", a rétorqué le réseau social à l'AFP. "Il est décevant que la Commission ait consacré autant de temps et de ressources pour remettre en avant toujours les mêmes perceptions erronées", a-t-il ajouté.