Ce déploiement, approuvé une première fois par le parlement en octobre 2014, a
été depuis prolongé chaque année d’un an. Le mandat autorise des actions
militaires dans ces deux pays voisins de la Turquie contre le groupe État
islamique et d’autres organisations considérées par Ankara comme des
organisations terroristes.
« Nous ne permettrons pas au
groupes terroristes de s’abriter ou d’être entraînés à nos frontières
méridionales, ou d’organiser des attaques contre notre pays en mettant à profit
la situation politique instable en Irak et en Syrie », a averti Ismet Yilmaz
président de la commission de la Défense du parlement.