Le président russe Vladimir Poutine. Photo: Sputnik
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Selon lui, rien
ne justifiera la présence de forces étrangères en Syrie après la disparition
des terroristes de Daech en Syrie. Il a estimé que Washington n’avait que deux
moyens de maintenir sa présence en Syrie, à savoir obtenir le feu vert de Damas
ou un mandat de l’ONU.
Les
régions du nord-est de la Syrie sont actuellement contrôlées par les Forces
démocratiques syriennes (FDS), une alliance créée sur la base de groupes armés
kurdes et bénéficiant d’un soutien des États-Unis. Damas considère les
activités des FDS comme illégales. En juillet, une délégation de représentants
politiques des FDS s’est rendue à Damas pour négocier avec les autorités
syriennes.