Ils soutiennent les efforts de désescalade, appellent à un cessez-le-feu à Gaza et au retour des otages, tout en encourageant la reprise des négociations sous l’égide des États-Unis, de l’Égypte et du Qatar.
Parallèlement, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a condamné l’attaque meurtrière contre une école de Gaza, survenue le 10 août, qui a fait au moins 100 victimes.
Face à l’escalade des tensions, les États-Unis renforcent leur présence militaire dans la région. Le secrétaire à la Défense, Lloyd Austin, a ordonné le déploiement d’un sous-marin équipé de missiles guidés, tandis que le groupe aéronaval du porte-avions USS Abraham Lincoln est également en route.
Dans ce contexte tendu, plusieurs compagnies aériennes ont prolongé la suspension de leurs vols vers Israël, l’Iran et le Liban, par crainte d’une possible attaque de l’Iran et du Hezbollah contre Israël dans les jours à venir.