Cette action fait suite à l’entrée en vigueur, le 31 octobre, de droits de douane européens pouvant atteindre 45,3% sur cinq ans. Pékin dénonce une enquête déraisonnable de la Commission européenne et un protectionnisme déguisé.
Le constructeur automobile SAIC a également saisi la Cour de justice européenne, contestant une enquête qui aurait ignoré des informations cruciales. Ce différend s’inscrit dans un contexte de tensions commerciales croissantes entre les deux puissances, touchant désormais plusieurs secteurs, dont les spiritueux et les produits laitiers.