Adoptée en 2005, la loi sur la coopération économique intercoréenne constituait le cadre juridique pour une coopération entre les deux Corées, alors que la loi sur la zone spéciale au mont Kumgang, entrée en vigueur en 2011, régit les investissements sud-coréens et des entités étrangères dans la zone.
Suite à cette décision, Pyongyang n’établira plus de procédures distinctes pour la coopération économique et commerciale intercoréenne, traduisant également son refus de participer aux échanges économiques avec la République de Corée.