Face à ce troisième lancement de missiles de croisière par Pyongyang en une semaine, l'état-major interarmées sud-coréen affirme collaborer étroitement avec les États-Unis, tout en intensifiant la surveillance et la vigilance.

Contrairement aux essais de missiles balistiques, les tirs de missiles de croisière ne sont pas soumis aux sanctions de l'ONU imposées à Pyongyang. Le 28 janvier, la RPDC a également procédé au lancement de missiles de croisière en direction de la mer Jaune, affirmant qu'il s'agissait d'une nouvelle génération de projectiles. Un autre essai a été effectué le 24 janvier, selon les informations de Séoul.