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Environ 600 agents des services frontaliers américains ont participé à cette opération, la plus importante en milieu de travail depuis au moins une décennie, a déclaré Matthew Albence, le directeur intérimaire de l’ICE.
Certains de ces sans-papiers seront libérés pour des raisons humanitaires, mais ils seront équipés de dispositifs de surveillance électronique et devront se présenter devant les tribunaux américains. Certains autres seront gardés dans les camps de détention de l’ICE à Jena, en Louisiane.
Les entreprises impliquées pourraient être accusées d’avoir sciemment embauché des immigrants illégaux et pourront faire l’objet de vérifications fiscales pour détecter d’éventuels cas de fraude, a précisé M. Albence.