Dans cet « Engagement des dirigeants pour
la nature », ceux-ci ont constaté que la destruction de la nature
constituait un « danger irréversible » pour la vie sur Terre,
exacerbait les déséquilibres écologiques et le changement climatique, et
augmentait le risque d’apparition d’épidémies meurtrières telles que le
COVID-19. Réduire les sources de la pollution de l’air, éviter les déchets plastiques
et établir des chaines d’approvisionnement alimentaire durables sont les
mesures proposées par les intervenants.
Ils se sont également engagés à élaborer un plan
d’action « ambitieux et révolutionnaire » afin notamment de le faire
adopter au cours de la 15e conférence des Nations Unies sur la biodiversité
qui se tiendra en mai 2021 à Kunming, en Chine.
Ces pays engagés pour sauver la Terre, parmi
lesquels la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et le Canada, représentent plus
d’un quart du PIB mondial.