Le président du Parlement iranien Mohamed Baqer Qalibaf (droite) lors de sa visite dans la centrale nucléaire de Fordo, au centre de l'Iran, le 28 janvier 2021. Photo: AFP/TTXVN |
Téhéran avait restreint en février l’accès des inspecteurs et refuse depuis de fournir en temps réel les enregistrements des caméras et autres outils.
L’AIEA avait à l’époque négocié un compromis de trois mois avec Téhéran pour garantir que l’Iran conserverait ces enregistrements et les lui remettrait quand les États-Unis lèveraient leurs sanctions. Cet accord avait été prolongé en mai jusqu’au 24 juin.