Le directeur général de l’AIEA, Rafael Grossi, insiste sur «l’importance vitale qu’il y a à poursuivre le travail nécessaire de vérification et de surveillance des activités de l’Iran», appelant à «une réponse immédiate».
L’Iran avait restreint en février l’accès des inspecteurs et refuse depuis cette date de fournir en temps réel les enregistrements de caméras et autres outils.