Photo: Irangov |
Les ministres des Affaires étrangères européens, chinois, russe et iranien se sont retrouvés pour tenter de calmer le jeu dans l’attente de la nouvelle administration américaine, alors que l’Iran s’éloigne toujours plus de ses engagements.
Début décembre, Paris, Londres et Berlin ont exprimé leur profonde préoccupation face à l’installation de trois nouvelles cascades de centrifugeuses avancées d’enrichissement d’uranium à Natanz.
Les trois pays se sont aussi alarmés de l’adoption par le Parlement iranien d’une loi controversée sur la question nucléaire qui, si elle était promulguée, signerait probablement la mort de l’accord. Ce texte appelle le gouvernement à nettement renforcer le programme nucléaire et à mettre fin aux inspections de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).