Pour la commission parlementaire des Affaires étrangères, le Plan d’action global conjoint conclu en 2015 n’est plus qu’une coquille vide. Ce pacte menace de voler en éclats depuis que les États-Unis en sont sortis en 2018, avant de rétablir des sanctions contre Téhéran. En riposte, l’Iran s’est désengagé à partir de 2019 de la plupart de ses engagements.
Les députés ont mis en garde Téhéran contre «la détention arbitraire» de ressortissants étrangers ou binationaux, dénonçant «une prise d’otage étatique». Ils ont recommandé de considérer les Gardiens de la révolution comme une organisation terroriste en raison de leur soutien à des entités terroristes et non étatiques œuvrant à déstabiliser la région.