Photo d'illustration (source: THX/TTXVN)
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«Nous ne croyons pas pouvoir véritablement aider le peuple afghan sans travailler avec les autorités de facto», a insisté Deborah Lyons tout en reconnaissant qu’il existait toujours une méfiance persistante entre les Talibans et une grande partie de la communauté internationale.
Elle a estimé que la mission politique pouvait faire davantage pour travailler avec les autorités de facto sur les principaux problèmes auxquels est confrontée la société afghane. Elle a également appelé le Conseil de sécurité à octroyer à la MANUA un mandat robuste permettant de répondre aux besoins de la population afghane.