L'Assemblée générale des Nations Unies a discuté, directement et virtuellement, vendredi 25 février, des mesures pour un accès équitable aux futurs vaccins. Photo: AVI |
Selon le président de la 76e Assemblée générale des Nations Unies, Abdulla Shahid, la disparité entre les pays en développement et les pays développés en termes de distribution des vaccins anti-COVID empêche l’ensemble de la communauté internationale de parvenir à l’élimination complète de la pandémie dans un bref délai. De plus, cela entrave davantage les progrès dans la réalisation de l’Agenda 2030 pour le développement durable. Bien que plus de 10 milliards de doses de vaccins aient été administrés à la population mondiale, 83% des Africains n'ont pas encore reçu leur première dose, a-t-il encore martelé.
«Si nous ne parvenons pas à vacciner chaque personne, nous donnons naissance à de nouveaux variants du SARS-CoV-2 qui se propagent au-delà des frontières et paralysent brutalement la vie quotidienne et les économies», a déclaré de son côté le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres.