En raison de la situation, l’ONU a suspendu ses opérations dans le pays, a de son côté indiqué le porte-parole du secrétaire général, Stéphane Dujarric, soulignant que l’ONU n’allait "pas demander à son personnel d’aller travailler quand clairement leur sécurité n’est pas garantie". "Cette reprise des combats aggrave une situation déjà fragile, forçant les agences de l’ONU et nos partenaires humanitaires à fermer temporairement nombre de nos plus de 250 programmes à travers le Soudan", a renchéri Martin Griffiths, dans un communiqué.
Par ailleurs, dans la déclaration commune à la suite de leur réunion des ministres des Affaires étrangères, le G7 a souligné que les parties prenantes devront cesser immédiatement les hostilités sans aucune condition préalable.
La Maison Blanche a également appelé à un cessez-le-feu immédiat au Soudan.