Environ 600 patients, dont certains souffrant de maladies chroniques, auraient dû être transférés en dehors de l’enclave palestinienne depuis le début des hostilités, mais que cela n’avait pas été possible en raison de la fermeture des points de passage.
D’autres agences humanitaires se sont plaints de l’accès limité à l’aide humanitaire et de l’approvisionnement en médicaments.
Des dizaines de centres de santé ont été endommagés lors des bombardements israéliens au début du mois, ce qui a incité l’OMS à avertir que les installations risquaient d’être débordées.