Le président iranien Hassan Rohani lors d'une conférence de presse en marge de l'Assemblée générale de l'ONU le 26 septembre 2019 | Photo: AFP
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Téhéran a vivement dénoncé la nette hostilité des Européens qui avaient pourtant multiplié les efforts pour favoriser un dialogue direct entre les deux pays.
La République islamique était mécontente des accusations lundi de la France, du Royaume-Uni et de l’Allemagne, qui ont rejoint les États-Unis dans leur mise en cause de la responsabilité iranienne dans les attaques du 14 septembre contre des infrastructures pétrolières saoudiennes. Ces attaques ont encore envenimé la confrontation américano-iranienne et fait craindre un embrasement dans le Golfe.