Le président américain qualifie cet accord de « désastre » et de « tueur d’emplois». Scellé en 2015, ce traité international vise à contenir la hausse de la température mondiale bien en deçà de 2 0C par rapport à l’ère préindustrielle.
Dans une lettre adressée lundi au secrétariat général des Nations unies, le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a repris la thèse d’un accord qui aurait imposé «un fardeau économique injuste» aux États-Unis. « Nous continuerons à proposer un modèle réaliste et pragmatique, étayé par des résultats concrets, montrant que l’innovation et les marchés ouverts conduisent à une plus grande prospérité, à une réduction des émissions [de gaz à effet de serre] et à des sources d’énergie plus sûres », a assuré le chef de la diplomatie américaine.