Cette réaction de la part de la France intervient avant une réunion des ministres européens de l'Énergie à Bruxelles (Belgique), prévue ce mardi 26 juillet.
Selon le gouvernement, l’effort devrait en effet tenir compte des spécificités de chaque pays, et notamment de leurs capacités physiques d’exportation vers les régions les plus affectées par la diminution des livraisons russes…