La présence de la Turquie en Libye renforçait l’espoir de paix, a-t-il précisé, affirmant que la voie au processus politique sera ouverte si le cessez-le-feu, pour lequel il avait lancé un appel avec son homologue russe Vladimir Poutine, est appliqué. Le chef de l’État turc a refusé à l’Union européenne un rôle de « coordinateur » dans ces efforts de paix, préférant voir l’ONU endosser cette responsabilité.