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« Je continuerai à préconiser une bonne solution, mais nous, dans l’UE, devons nous préparer pour le cas où un accord ne serait pas conclu », a déclaré la chancelière devant la chambre des députés allemands, au premier jour de cette présidence semestrielle tournante.
Le gouvernement britannique a dans la foulée assuré vouloir « continuer à travailler de manière constructive avec l’Union européenne ».
Mais il s’est dit prêt, par la voix d’un porte-parole de Boris Johnson, « à faire face à l’une ou l’autre éventualité à la fin de l’année, un accord de libre-échange ou une relation commerciale basée sur les mêmes conditions que celles » en cours actuellement avec l’Australie.