Le négociateur en chef britannique, David Frost (photo AFP/TTXVN) |
Les discussions, qui porteront sur la question de savoir si des progrès «concrets et rapides» sont envisageables, se dérouleront à Bruxelles puis à Londres, a-t-il précisé.
David Frost a notamment averti que le gouvernement britannique «s’opposerait aux idées, comme celle qui circule actuellement, de donner à l'Union européenne le droit de nous taxer en représailles si nous choisissons d'adopter des lois conformes à nos intérêts».
«Nous ne pouvons pas nous exposer à un tel risque économique imprévisible», a-t-il dit.
Les dirigeants européens ont convenu la semaine dernière d'accélérer leurs négociations avec la Grande-Bretagne pour parvenir à un accord post-Brexit avant la date fatidique du 31 décembre 2020 mais ils ont prévenu que cet accord ne se ferait pas à n'importe quel prix.