Dans une note adressée à l'AIEA datée du 8 juin et rendue publique jeudi 11 juin par sa mission à Vienne auprès de cette agence, l'Iran souligne que se sont déroulées, les 29 avril et 16 mai dans sa capitale, des rencontres, suivies d'échanges écrits, avec des représentants de l'AIEA pour évoquer cette question.
Téhéran "a poursuivi son engagement constructif (dans des discussions) avec l'agence ces deux derniers mois, en vue de parvenir à une compréhension mutuelle" afin de "régler les problèmes rencontrés".
L'Iran considère que les requêtes en vue d'un accès aux sites concernés reposent sur "des informations fabriquées", accusant les États-Unis et Israël de tenter d'"exercer des pressions" sur l'Agence internationale de l'énergie atomique.