Photo d'illustration
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Le président chilien avait annoncé mercredi que son pays, aux prises avec une contestation sociale qui ne faiblit pas, renonçait à accueillir la COP25 ainsi que le sommet de la Coopération économique pour l’Asie-Pacifique (APEC), qui devait avoir lieu à Santiago les 16 et 17 novembre. L’annulation des deux sommets a porté un coup dur à l’image du Chili, considéré comme l’un des pays les plus stables d’Amérique latine mais secoué, depuis le 18 octobre, par une fronde sociale sans précédent, qui a fait vingt morts et un millier de blessés, selon le dernier bilan officiel.