|
Photo: THX/TTXVN |
Dans sa première déclaration publique depuis cette décision, le président Yoon Suk Yeol a affirmé qu'il n'y aurait jamais de deuxième loi martiale et qu'il ne fuirait pas ses responsabilités légales et politiques. Au sein du Parti du Pouvoir du Peuple (PPP), le président tente de stabiliser la situation politique tout en expliquant que sa décision a été prise dans un contexte de «désespoir».
Ces excuses interviennent alors que l'opposition, dirigée par le Parti démocrate (DP), qui détient la majorité parlementaire, s'apprête à voter sur un projet de loi de mise en accusation du président. Si 200 voix sur les 300 que compte l'Assemblée nationale sont obtenues, Yoon Suk Yeol sera immédiatement suspendu de ses fonctions.