La Banque maintient son taux de dépôt à 2% depuis juillet en raison de la stabilisation de l'inflation de 2% et d'un impact moins important que prévu des droits de douane américains. Elle a également relevé ses prévisions de croissance à 1,2% pour l'année prochaine, avec une inflation attendue à 1,9%.
Toutefois, les perspectives de politique monétaire suscitent des avis divergents. Certains responsables de l’institution estiment que les risques inflationnistes pourraient augmenter en raison de facteurs imprévisibles. D'autres soulignent le niveau élevé d'incertitude économique dans un contexte de fluctuations des politiques commerciales mondiales.