De la fumée s'élève après une frappe aérienne israélienne sur un village du sud du Liban, le 22 janvier. Photo : AFP
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Cette déclaration intervient alors que la tension est à son comble entre les deux pays, qui se livrent à des affrontements violents et quasi quotidiens depuis trois mois. Ce jeudi, l’armée israélienne a mené des frappes aériennes et des bombardements intensifs sur des cibles du Hezbollah dans le sud du Liban, en riposte à une attaque de deux drones du mouvement chiite contre des sites militaires dans le nord d’Israël.
Par ailleurs, la situation reste critique dans la bande de Gaza, où la guerre entre Israël et le Hamas est sur le point d’entrer dans son quatrième mois. Le haut dirigeant du Hamas, Osma Hamdan, a déclaré que son groupe était disposé à mettre fin aux hostilités et à libérer tous les otages capturés lors de l’attaque du sud d’Israël le 7 octobre 2023, à condition que la Cour internationale de Justice (CIJ) ordonne l’arrêt des combats à Gaza et qu’Israël accepte la libération totale des prisonniers palestiniens.