«Fin 2017, j’ai eu l’occasion d’aller à Hanoï. La ville m’a fasciné. J’adore l’admirer à l’aube et après 22 heures, quand ses rues sont si calmes, si paisibles…», confie Hoàng Phong.
Le collège Trung Vuong |
Hoàng Phong apprécie particulièrement les bâtiments d’architecture coloniale, que ce soit des écoles, des villas privées, des musées ou des établissements publics.
L’Université de Hanoï |
Peintre depuis une bonne dizaine d’années, Hoàng Phong est membre de l’Association des Beaux-arts de Hô Chi Minh-ville et de la Société internationale de l’aquarelle (IWS).
Rue printanière |
Pour Hoàng Phong, chaque œuvre doit porter la touche personnelle de l’auteur.
Hanoï au début de l’hiver |
En cette période de distanciation sociale, le peintre souhaite que ses aquarelles apportent à chacun «un peu d’énergie positive» dans l’attente du retour de la vie normale et de ces «images familières».
Après l’épidémie, Hoàng Phong espère organiser une exposition personnelle consacrée à Hanoï dans la ville même.
Un coin de villa française |
La cathédrale Saint-Joseph de Hanoï |
L’église de Cua Bac |
Une ancienne villa française |
La maison du 51 rue Trân Hung Dao |
O Quan Chuong au printemps |
Le vieux quartier de Hanoï |