C’est ce qu’a déclaré samedi le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Ryabkov.
La Russie ne change pas sa position sur la présence de la Chine aux négociations sur la réduction des armements stratégiques mais qu’il est nécessaire d’avoir la participation obligatoire de la Grande-Bretagne et de la France, en cas d’élargissement de la liste des pays impliqués dans les négociations, a-t-il souligné.
Auparavant, selon l’envoyé spécial du président américain chargé du contrôle des armements Marshall Billingslea, les États-Unis avaient renoncé à demander à la Chine de participer aux négociations. L’objectif prioritaire de Washington est désormais de conclure un accord politique avec la Russie, a-t-il expliqué.