Il a également estimé que ce n’était pas viable de chercher une formule pour remplacer les troupes américaines par un partenaire tel que la Turquie, alliée de Washington au sein de l’OTAN. Donald Trump a ordonné le mois dernier le retrait des quelques 2.000 militaires américains présents en Syrie. Cette mesure a été suivie par la démission du secrétaire à la Défense Jim Mattis et par celle de Brett McGurk, qui ont exprimé leur désaccord avec cette décision.