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En retour, les forces américaines ont tiré des grenades lacrymogènes pour disperser la foule.
Les frappes américaines ont eu lieu en représailles à la mort vendredi d’un sous-traitant américain dans la onzième attaque à la roquette en deux mois, non revendiquée, mais attribuée par Washington au Kataeb Hezbollah.
Le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, a prévenu mardi les dirigeants irakiens que les États-Unis entendaient «protéger et défendre» les Américains, après cette attaque.
Quelques heures plus tard, le Pentagone a annoncé l’envoi de renforts. «Nous avons pris les mesures de protection appropriées pour assurer la sécurité des ressortissants, militaires et diplomates américains dans le pays, et pour assurer notre droit à l’autodéfense. Nous envoyons des forces supplémentaires pour soutenir notre personnel à l’ambassade», a déclaré le secrétaire américain à la Défense, Mark Esper, dans un communiqué.