Par la voix d'Alexandre Chetinine, directeur du
département d'Amérique latine du ministère russe des Affaires étrangères, la
Russie s'est dite prête à jouer les intermédiaires entre le gouvernement d'un
côté, et l'opposition de l'autre. Moscou précise toutefois ne souhaiter
«coopérer» qu'avec «les forces politiques qui agissent de manière responsable».