Alors que des négociations cruciales doivent commencer lundi 10 janvier à Genève, le haut responsable a affirmé, lors d’une conférence téléphonique, que les États-Unis n’étaient en revanche pas prêts à discuter de la présence des forces américaines dans les pays de l’OTAN.
Les négociations de Genève, qui seront suivies d’autres sessions de discussions à Bruxelles et à Vienne, ont pour but d’éviter une crise. Une première conversation entre Russes et Américains pourrait se tenir dès dimanche soir.