Vue aérienne d'une raffinerie à Omsk, dans le Sud-Ouest de la Sibérie, en Russie. Photo: Nsenergy Business/TTXVN |
Le Royaume-Uni a aussi annoncé sa décision d’arrêter, d’ici fin 2022, les importations de brut et de produits pétroliers russes en réaction au conflit.
De son côté, la Commission européenne a déclaré, dans un communiqué, que le bloc réduirait sa demande en gaz russe de deux tiers d’ici la fin de l’année et supprimerait sa dépendance à l’égard des combustibles fossiles russes (gaz et pétrole) avant 2030.