Ces violences illustrent l'instabilité de certaines zones du pays, ébranlé par des attaques menées par des groupes islamistes.
Dans un communiqué, le gouvernement a indiqué que 25 personnes avaient été tuées et d'autres blessées dans l'attaque d'un marché de Kompienga, tandis que cinq civils et cinq officiers de la police militaire avaient été tués à Foube.