Selon ce dernier qui doit quitter ses fonctions fin novembre, le prix à payer à ne pas essayer vite de démarrer un processus politique pourrait bien être une longue période de malheurs.
Il a appelé les pays engagés à une solution en Syrie à faire pression sur le «gouvernement» syrien, et non régime pour qu’il comprenne que le statu quo n’est pas dans son intérêt.
Le gouvernement syrien a annoncé fin octobre son rejet d’un Comité constitutionnel, considéré comme la première pierre à un règlement politique du conflit.