Une session du Conseil de sécurité des Nations Unies à New York. Photo: THX/TTXVN |
Malgré les engagements pris par le dirigeant syrien par intérim Ahmad Al-Sharaa, l’émissaire onusien a souligné l’urgence d’actions concrètes. Dans son exposé, Pedersen a dressé un tableau alarmant de la situation sécuritaire, particulièrement dans le nord-est du pays où les affrontements persistent et où les frappes aériennes menacent des populations civiles et infrastructures. Il a appelé à un processus de transition inclusif, articulé autour de trois piliers : le renforcement de l’état de droit, l’autonomisation des femmes et l’organisation d’élections transparentes.
L’envoyé spécial a également plaidé pour un assouplissement des sanctions internationales, notamment dans les secteurs énergétique et financier.