Sous la forte pression des Occidentaux, M. de Mistura doit composer un comité constitutionnel de 150 membres : 50 seront choisis par le pouvoir, 50 par l’opposition et 50 par l’émissaire de l’ONU afin d’insérer dans la réflexion des experts et des représentants de la société civile. Damas a indiqué ne pas être d’accord avec la composition de la liste onusienne et a insisté sur la neutralité du Comité.
L’émissaire de l’ONU a rappelé que le terme de sa mission avait été fixé à la fin du mois de novembre. Il a fait savoir qu’il avait accepté de la proroger jusqu’à la fin du mois de décembre.