Des étudiants soudanais en langues étrangères défilent lors d'un sit-in devant le siège de l'armée à Khartoum, le 29 avril 2019 - Photo Ozan Kose, AFP |
L’Union africaine note avec un profond regret que le délai de 15 jours qu’elle avait fixé le mois dernier n’a pas été respecté. Cette prolongation de soixante jours est la dernière, a souligné l’institution.
De son côté, le leader de l’opposition Sadek al-Mahdi a mis en garde mercredi les meneurs de la contestation contre toute tentative de leur part de provoquer les militaires, affirmant que ceux-ci n’allaient pas tarder à transférer - comme promis - le pouvoir aux civils.