Photo: THX/TTXVN
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Mais les discussions se sont enlisées après plusieurs heures de négociations entre les Vingt-Sept car le plan de 750 milliards d'euros ne fait pas l'unanimité.
Il y a d'une part les états dits «frugaux» - les Pays-Bas en tête, la Suède, le Danemark, l'Autriche -, qui souhaitent des contreparties et des réformes de la part des états bénéficiaires. Et il y a une autre partie de l'Europe, emmenée par la France et l'Allemagne, qui souhaite un plan moins contraignant, plus rapide et efficace.
Face à la presse, Emmanuel Macron a requis «beaucoup plus de solidarité et d'ambition» et a évoqué des «prochaines heures décisives». La chancelière allemande, Angela Merkel, s'attend à des négociations «très difficiles» et le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a déclaré qu'il n'était «pas optimiste».