Le ministre ghanéen de la Sécurité nationale, Albert Kan-Dapaah (photo:ministère de l'information du Ghana) |
Albert Kan Dapaah a affirmé que cette création vise à protéger l’intégrité territoriale des pays de la sous-région en général et des États membres en particulier. Il a également déclaré que les chefs militaires des pays participants avaient discuté sur les détails de la force militaire.
Lancée en 2017, cette initiative implique le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Ghana et le Togo. Le Mali et le Niger l’ont rejoint en tant qu’observateurs.