En conséquence, plus de 50.000
personnes ont été évacuées mardi 5 février. Des évacuations ont
également eu lieu à Saint-Pétersbourg, la deuxième ville du pays, qui avait
déjà fait l'objet de fausses alertes à la bombe similaires les jours
précédents.
Aucun objet suspect n'a été trouvé
à l'issue des fouilles ayant suivi ces évacuations.
D'après les autorités citées par les médias russes, ces alertes ont été
envoyées par courrier électronique depuis l'étranger, notamment depuis
l'Ukraine.