Un poste de garde de l'armée sud-coréenne situé dans la Zone démilitarisée (DMZ). Photo: AFP/TTXVN |
Le vice-ministre des Affaires étrangères Ri Thae-song a formulé ce rejet dans un communiqué relayé par l'Agence centrale de presse nord-coréenne (KCNA). D’après lui, la déclaration de fin de guerre n'a pas de «force juridique contraignante» et «deviendra un simple bout de papier en un instant selon les changements de situation».
Dans son discours prononcé le 21 septembre à l'Assemblée générale des Nations Unies, le président sud-coréen Moon Jae-in a proposé que les deux Corées et les États-Unis, avec probablement la Chine, déclarent une fin formelle de la guerre de Corée, en soulignant qu'elle marquerait un point de départ crucial pour la création d'un nouvel ordre de réconciliation en péninsule coréenne.