C'est ce qu'a annoncé dimanche le Premier ministre libanais Hassan Diab, faisant ainsi état du premier défaut de paiement de l’histoire du Liban. Pays endetté à hauteur de 92 milliards de dollars, soit environ 170 % de son PIB, le Liban va restructurer sa dette conformément à l’intérêt national, a ajouté le chef du gouvernement.
Les réserves en devises libannaises ont atteint un niveau inquiétant, poussant le gouvernement à suspendre le paiement d’une dette arrivant à échéance le 9 mars.