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Il faut "faire en sorte que notre industrie aille bien et que l'industrie pétrolière aille mieux qu'à l'heure actuelle", a poursuivi le président américain, soulevant une crainte que des emplois soient supprimés à travers le monde dans l'industrie pétrolière.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés dont la Russie, désignés sous le nom d'Opep+, ont annoncé dans la journée une baisse de leur production de 10 millions de barils par jour, soit 10% de l'offre mondiale, à compter du 1er mai dans l'espoir d'enrayer la chute des cours du brut provoquée par la pandémie de coronavirus. Appelant les États-Unis, premier producteur mondial, et d'autres pays comme le Canada, la Norvège et le Brésil à réduire à leur tour leur production pour un total de 5 millions de bpj, l'Opep+ a par la suite indiqué à l'issue des discussions qu'un accord final serait validé seulement si le Mexique participait aux efforts.