Le Premier ministre japonais Shinzo Abe - Photo AFP/TTXVN |
Cette décision a été annoncée au lendemain du délai proposé par Tokyo de saisir un groupe spécial d’arbitrage pour régler le conflit sur le travail forcé pendant la guerre. Séoul a toutefois proposé d’ouvrir des pourparlers diplomatiques à ce sujet, à condition que les entreprises japonaises aident à indemniser les victimes de travail forcé sous le régime colonial japonais de la péninsule coréenne. Tokyo a rapidement déclaré qu’il rejetait l’offre.